Quelques remarques sur ce premier numéro "inventé" par Michel le jour de ses 48 ans (un des articles en parle : nous avions décidé de faire un pique-nique à l'anglaise, c'est à dire un peu déjanté, sur les bords de la Seudre)... C'était cette semaine-là, la semaine de "la presse à l'école" et il a voulu trouver une idée qui souligne notre volonté de suivre cette manifestation... C'est ainsi qu'est né le Petit Re. Publication familiale, tout le monde s'engageait à rédiger au moins un article, et qui (on le lira dans l'article de Marie) devait avoir une périodicité mensuelle. Soucieuse de donner à ce "journal" une dimension plausible, j'ai décidé de l'envoyer à quelques amis, afin de situer le propos de chacun dans la perspective d'un lectorat. A l'époque, internet était à l'état de balbutiements, les blogs n'existaient pas, cela semblait donc normal de faire un "journal papier" et de trouver des lecteurs.
On verra que, côté technique, on en était décidément aux balbutiements : un des articles mentionne une nouveauté technologique que, bien sûr, je m'étais empressée de déclarer indispensable et qui a, depuis, disparu dans les limbes des inventions ratées : le Tatoo... C'était un petit boitier jaune, qui faisait bip bip, et qui permettait d'envoyer de petits messages, dans le genre sms.
La qualité rédactionnelle de ce numéro 0 en est encore à ses balbutiements, mais bon, il faut être indulgentes envers vous-mêmes, et, quitte à publier le Petit ReNaudon, l'authentique, je me devais de commencer par ce zéro. Qui, vous vous en souvenez sans doute, n'est devenu le zéro qu'après une magouille sur les numéros faite au moment du numéro 50, afin que sa publication tombe au moment d'un autre anniversaire de Michel, celui du 15 mars 2000. Mais c'est une autre histoire.
On verra que, côté technique, on en était décidément aux balbutiements : un des articles mentionne une nouveauté technologique que, bien sûr, je m'étais empressée de déclarer indispensable et qui a, depuis, disparu dans les limbes des inventions ratées : le Tatoo... C'était un petit boitier jaune, qui faisait bip bip, et qui permettait d'envoyer de petits messages, dans le genre sms.
La qualité rédactionnelle de ce numéro 0 en est encore à ses balbutiements, mais bon, il faut être indulgentes envers vous-mêmes, et, quitte à publier le Petit ReNaudon, l'authentique, je me devais de commencer par ce zéro. Qui, vous vous en souvenez sans doute, n'est devenu le zéro qu'après une magouille sur les numéros faite au moment du numéro 50, afin que sa publication tombe au moment d'un autre anniversaire de Michel, celui du 15 mars 2000. Mais c'est une autre histoire.
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